Campagne 2021 du coquelicot blanc

L’édition de 2021 a eut lieu du 21 septembre au 11 novembre.

Elle s’est  fait sous le thème « Exigeons que le Canada dise NON aux armes nucléaires ».

Parrains et marraines de la campagne 2021 du coquelicot blanc

• François Avard, auteur et scénariste
• Ariane Émond, journaliste indépendante, animatrice et auteure
• Martin Forgues, ex-militaire, journaliste indépendant et auteur
• Jacques Goldstyn, alias Boris, auteur et illustrateur
• Christian Vanasse, auteur, humoriste et membre des Zapartistes

Aperçu des actions de la campagne 2021 du coquelicot blanc

21 septembre: Communiqué de presse du lancement de la campagne 2021, à l’occasion de la Journée internationale de la paix.

24 septembre : Sous le thème  « Climat et armes nucléaires : 2 urgences pour la survie de l’humanité », participation du Collectif à la manifestation qui aura lieu à Montréal dans le cadre de la mobilisation mondiale pour le climat, à l’appel de la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES) et de Pour le futur Mtl.  Les militantes et militants du Collectif sont invités à se joindre à son contingent et à porter le coquelicot blanc.

26 septembre: Le Collectif a souligné la Journée internationale pour l’élimination totale des armes nucléaires en publiant la lettre ouverte: Le Canada doit ratifier le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires. Signée par la marraine et les parrains de la campagne, le lettre a été publiée dans neuf médias écrits au Québec. Le 25 septembre 2021, elle a été publiée dans le journal Le Devoir, ainsi que dans les six quotidiens numériques de la CN2i – Le Soleil (région de Québec), La Tribune (région de Sherbrooke), Le Nouvelliste (région de Trois-Rivières), Le Droit (région de Gatineau/Ottawa), le Quotidien (région du Saguenay–Lac-St-Jean) et la Voix de l’est (région de Granby). Le 26 septembre 2021, elle a été publiée dans le Journal de Montréal et le Journal de Québec.

21 octobre: Publication d’un encadré dans le journal Métro.

6 novembre: Parution d’une déclaration endossée par 197 personnes et 43 organisations, lesquelles se sont partagé les coûts de diffusion.

11 novembre: Vigile silencieuse dans le cadre du Jour du souvenir (Montréal, de 10h30 à 12h – Place du Canada). L’événement vise à souligner la mémoire de toutes les victimes des guerres, dont la très grande majorité sont des civils, et remettre en question le bien-fondé des guerres menées par nos gouvernements en invoquant faussement des motifs humanitaires.

Durant toute la durée de la campagne.

Le Collectif invite la population à porter le coquelicot blanc du 21 septembre au 11 novembre et à le rendre visible, notamment par les médias sociaux (voir les outils visuels proposés ). Il est possible de se procurer le coquelicot blanc dans des points de dépôts et en ligne.  La population est également invitée à diffuser les interventions publiques liées à la campagne (carte expliquant la signification du coquelicot blanc, lettres ouvertes, déclaration, document de présentation, etc.).

En plus des activités régulières présentées ci-haut, le collectif a produit la capsule vidéo « Pourquoi porter le coquelicot blanc? » avec la collaboration des parrains et marraines de la campagne.

Un album photo présentant des personnalités portant le coquelicot blanc en public a aussi été diffusé.

Portons le coquelicot blanc à la mémoire de TOUTES les victimes des guerres et pour exiger que les guerres cessent!

Porter le coquelicot blanc est un geste simple que nous posons dans le but de commémorer l’ensemble des victimes de la guerre et d’inscrire cette commémoration dans notre volonté d’en finir avec la guerre et avec ses faux prétextes.

Nos objectifs ne sont pas :

• d’antagoniser les vétérans, les familles de militaires et autres proches qui commémorent la perte d’êtres chers;
• ni d’opposer le port du coquelicot blanc à celui du coquelicot rouge;

mais bien :

• d’exercer notre devoir de mémoire envers toutes les victimes de la guerre – hommes, femmes et enfants – dont la très grande majorité sont des civils et non des soldats;
• de nous dissocier de la tendance des pouvoirs politiques qui saisissent l’occasion du “souvenir” pour justifier les guerres et le militarisme croissant.